12h37 – horloge scénique

Chant cassé, l’envol ou presque, l’œil de la tigresse.

10h44 – horloge scénique

Couleurs complémentaires, se dire à égalité, la révolution des regards féminins.

Même d’ici les dorayaki donnent faim, partage entre générations, elles sont libres.

L’héritier explique les règles du jeu, métaphore filée, la puissance d’un système racontée par et pour les pions.

L’élève paralysée, l’insurrection, on se lève et on saute.

Caresse la poche, dans une bulle ils se réconfortent, le crapaud et la perle.

Départ imminent, l’incapacité à dire, plus que des adieux c’est la danse des réconciliations.

Enfin le chant sacré résonne, corps entier se recueille, en ouvrant les yeux s’étonner de sa force.

Des pommes au goûter, l’angoisse vite balayée de rires clairs, une menace plane dans l’escalier.

Caresse du bout des doigts, se faire prisonnière de son piano, choisir de vivre.